A propos de l’ostéopathie biodynamique

« Je trouve en l’homme un univers en miniature. Je trouve la matière, le mouvement et l’esprit »

Andrew Taylor  Still – Autobiographie p. 306

Notre pratique s’inspire du modèle biodynamique. Cette approche de l’ostéopathie a été enseignée aux Etats-Unis par le docteur James Jealous, à partir de l’héritage du Docteur Sutherland, père de l’ostéopathie crânienne.

Voici les caractéristiques principales de l’approche biodynamique en ostéopathie :

1.

Une écoute au naturel du corps

L’ostéopathe ne pratique pas de test diagnostics, il ne cherche pas des restrictions de mobilité, il n’analyse pas le corps. Il s’agit de percevoir ce qui se passe dans l’organisme, sans le perturber, sans le comprimer.

Il faut bien comprendre l’importance de notre toucher.

C’est la qualité du toucher de l’ostéopathe biodynamique qui va lui permettre de percevoir des aspects plus subtiles de ce qui se passe dans le corps.

2.

Un temps d’attente est nécessaire au début du traitement.

Il permet de mieux percevoir l’ensemble du corps. Il ne s’agit plus pour l’ostéopathe de dialoguer uniquement avec les tissus du corps mais d’y associer les liquides… et les champs électromagnétiques qui animent les liquides.

Notre pratique s’inspire du modèle biodynamique. Cette approche de l’ostéopathie a été enseignée aux Etats-Unis par le docteur James Jealous, à partir de l’héritage du Docteur Sutherland, père de l’ostéopathie crânienne.

Voici les caractéristiques principales de l’approche biodynamique en ostéopathie :

1.

Une écoute au naturel du corps

L’ostéopathe ne pratique pas de test diagnostics, il ne cherche pas des restrictions de mobilité, il n’analyse pas le corps. Il s’agit de percevoir ce qui se passe dans l’organisme, sans le perturber, sans le comprimer.

Il faut bien comprendre l’importance de notre toucher.

C’est la qualité du toucher de l’ostéopathe biodynamique qui va lui permettre de percevoir des aspects plus subtiles de ce qui se passe dans le corps.

2.

Un temps d’attente est nécessaire au début du traitement.

Il permet de mieux percevoir l’ensemble du corps. Il ne s’agit plus pour l’ostéopathe de dialoguer uniquement avec les tissus du corps mais d’y associer les liquides… et les champs électromagnétiques qui animent les liquides.

3.
Apparait alors, sous la main du praticien,

Un gel. C’est une sensation particulière du corps lorsqu’il s’est mis en état de repos, de détente.

L’ostéopathe perçoit une homogénéité dans l’ensemble du corps. Cet état révèle beaucoup plus fidèlement la demande de l’organisme.

4.

L’ostéopathe ressent alors une activité « auto-correctrice » déjà présente dans l’organisme.

C’est tout le mystère de la priorisation du processus thérapeutique. L’organisme est déjà en train de s’équilibrer.

C’est donc l’intelligence de l’organisme qui indique le traitement.

C’est une des différences fondamentales avec les autres approches en ostéopathie, où le praticien déduit la zone du traitement après avoir effectué une batterie de tests.

5.

Points d’appuis

Dans cette approche de l’ostéopathie, nous devenons alors beaucoup plus des témoins que des intervenants, donnant uniquement des points d’appuis (appelés « fulcrum » par les ostéopathes fondateurs).

Ces points d’appuis permettent d’accompagner le processus thérapeutique, en augmentant son intensité et ainsi désengager les impacts.

6.

Les zones lésionnelles se transforment en passant de l’inertie au mouvement

d’une sensation de sécheresse à l’apport nourricier des fluides. C’est ce que le fondateur de l’ostéopathie, Andrew Taylor Still, appelait la loi de l’artère « que les fleuves (…) puissent s’écouler et irriguer les champs desséchés »

7.

C’est la perception par l’ostéopathe de l’arrêt de l’activité thérapeutique qui signe la fin du traitement.

Et non pas, là encore, une décision très aléatoire de l’ostéopathe.

A propos de l’ostéopathie biodynamique

Par Thierry Coeur de Roy

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